CUBA sur une BMW R50/2 (1967)

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Du 1er Mars au 26 Avril 2017

 
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« Comme toute la vieille gauche européenne, fille romantique de mai 68, guévariste et pro-communiste, Bruno escamotait sa propre défaite historique en exigeant des autres – en particulier si les autres étaient cubains – qu’ils résistent stoïquement et dignement, qu’ils ne renoncent pas à leurs principes et perpétuent toutes ces consignes qui s’étaient peu à peu vidées de leurs sens après d’autres défaites historiques. »


Léonardo Padura « Ce qui désirait arriver » « aquello estaba deseando ocurrir »



Après avoir traversé seul et à moto l’Amérique centrale et du sud, approximativement et sans l’avoir prémédité, sur les pas du Che, mais dans l’autre sens : du Mexique vers l’Argentine.


Après avoir constaté que la réalité – celle que son ami Alberto Granado décrivit dans « carnets de voyage » en 1978 et que Ernesto Guevara  conta dans les courriers envoyés à sa mère et dans ses notes « voyage à motocyclette » - que cette réalité était restée la même : Pauvreté, désespoir, domination, soumission, richesse insolente, après cela, il fallait finir ce périple à Cuba.


Avec le même décalage temporel, le même regard critique et bienveillant. Avec la même curiosité d’observer, de comprendre, d’apprendre, de confronter les idées reçues à la réalité.

Alors, autant commencer, encore, ce voyage à l’envers du chemin emprunté par les barbudos, par la fin, par La Havana.


Pour commencer au début : c’est ICI.


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